Témoignage | Rencontre avec Adrien, qui nous explique que le parcours mécanique d’ISMANS CESI lui a permis de se spécialiser dans un domaine précis : le calcul de structure
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Découvrez le parcours d’Adrien…
Adrien est élève en 5e année du parcours Ingénieur Mécanique, il témoigne aujourd’hui sur :
- Son parcours de formation avant ISMANS CESI
- Son choix pour le parcours Mécanique et ses expériences professionnelles (stages)
- La suite après son diplôme
- Les qualités pour être un bon ingénieur et ses conseils pour les futurs étudiants
Avant d’intégrer le cycle ingénieur ISMANS CESI, quel a été votre parcours de lycéen puis d’étudiant ?
J’ai fait un BAC Scientique Science de l’ingénieur avec option ISN (Informatiques et Sciences du Numériques). Ce parcours m’a permis d’avoir de bonnes bases scientifiques pour ensuite intégrer la prépa intégrée à ISMANS CESI.
Pourquoi avoir choisi ISMANS CESI & son cycle ingénieur Mécanique – Modélisation calcul & optimisation des structures mécaniques ?
Je suis intéressé par la mécanique et les nouvelles technologies. Le secteur du transport est aussi quelque chose qui m’intéresse. Le parcours Modélisation calcul & optimisation des structures mécaniques (MCOP) nous permet réellement de nous spécialiser dans un domaine précis qu’est le calcul de structure. Il y a donc un côté très intéressant à devenir spécialiste dans un domaine bien précis. De plus, le calcul de structure est applicable à de nombreux domaines dont celui des transports.
Une semaine type à ISMANS CESI, c’est comment ?
En 5e année, on va avoir des cours le matin. L’après-midi est souvent réservé à la réalisation des PRIE (Projet de Recherche Industriel Encadré), projets sur de réelles problématiques posées par des industriels. Le jeudi après-midi peut être consacré à la vie associative.
Pouvez-vous nous parler de vos expériences professionnelles (stages) dans le cadre du cycle ingénieur Mécanique ?
Mon stage de 5e année se déroule au CNRS de Grenoble. J’ai obtenu ce stage à la suite du PRIE. J’ai intégré le bureau d’études du SERAS (Service d’Etudes et de Réalisations d’Appareillages Scientifiques). Mon rôle est de réaliser une étude afin d’améliorer les seconds cristaux sur les lignes de lumières de l’accélérateur de particules européens (ESRF). En parallèle, d’autres projets de calculs me sont confiés sur des sujets bien différents. C’est ce qui est intéressant au CNRS, c’est qu’aucun sujet ne se ressemble.
L’année dernière, j’ai fait mon stage chez BRIAND ET GERARD. Rien à voir avec la recherche scientifique, cette entreprise est spécialisée dans la construction de bâtiments en charpente métallique. J’y ai réalisé des pré-études et des devis sur différents projets de bâtiments. C’est le point fort de la formation, nous sommes ultra-spécialisés dans le domaine du calcul de structure, mais nous pouvons exercer le métier d’ingénieur dans différents domaines, de la recherche au BTP.
Que comptez-vous faire une fois vos études terminées ?
L’objectif évidemment est de rejoindre un bureau de calcul dans lequel je pourrai utiliser au mieux ma formation. Pour ce qui est du secteur, je ne sais pas encore. Mon choix n’est pas fait même si j’ai une préférence pour l’automobile, tout dépendra des opportunités qui se présenteront à moi.
Quelles sont les qualités pour être un bon ingénieur ?
Difficile à dire, n’étant pas encore moi-même ingénieur. Évidemment, il faut être performant dans son domaine technique. Le travail d’équipe est indispensable donc la communication l’est aussi.
Quels conseils pourriez-vous donner à un·e étudiant·e / lycéen·ne qui souhaite devenir ingénieur·e ?
Il faut trouver ce qui nous intéresse et y aller. Presque tout secteur d’activité a besoin d’ingénieur aujourd’hui, donc c’est impossible de ne pas trouver quelque chose qui nous correspond et nous motive. En revanche, il faut quand même avoir envie d’apprendre et être prêt à parfois sacrifier ses soirées ou ses weekends pour réviser. Ça peut de temps en temps paraître compliqué, mais je vous assure que tout le monde en sort vivant.
