Témoignage | Selon Léa, étudiante ingénieure en mécanique, ISMANS CESI n’est pas qu’une école, c’est aussi un lieu de rencontre
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Découvrez le parcours de Léa…
Léa est élève en 5e année du parcours Ingénieur Mécanique, elle témoigne aujourd’hui sur :
- Son parcours de formation avant ISMANS CESI
- Son choix pour le parcours Mécanique et ses expériences professionnelles (stages)
- La suite après son diplôme
- Les qualités pour être un bon ingénieur et ses conseils pour les futurs étudiants
Avant d’intégrer le cycle ingénieur ISMANS CESI, quel a été votre parcours de lycéen puis d’étudiant ?
Avant d’arriver à ISMANS CESI, j’ai fait un bac scientifique (SVT – spé. Maths). J’ai eu mon bac avec mention très bien et je me suis ensuite tournée vers une CPGE (Classe préparatoire aux grandes écoles). J’ai choisi la filière PCSI en première année dont les matières prédominantes sont la physique, la chimie et les sciences de l’ingénieur. En seconde année je me suis spécifiée en PSI (Physique, Science de l’ingénieur). Je ne savais pas réellement dans quel domaine je voulais travailler après le lycée et c’est dans cette optique que j’ai choisi de faire une CPGE classique et non intégrée au sein d’une école.
Pourquoi avoir choisi ISMANS CESI & son cycle ingénieur Mécanique – Modélisation calcul & optimisation des structures mécaniques ?
C’est pour cette option que je me suis inscrite à l’école. Au vu des choix post concours après ma CPGE, c’est le parcours Modélisation calcul & optimisation des structures mécaniques (MCOP) qui correspondait le plus à mes attentes. Le domaine de la mécanique des structures m’intéressait et le monde du calcul m’intriguait.
Une fois arrivée à l’école, j’ai hésité entre le parcours performance industrielle et le parcours mécanique (MCOP). Cependant, j’avais peur de perdre le côté scientifique que j’aime dans le monde de l’ingénierie si je m’orientais vers la filière performance industrielle d’ISMANS CESI, plus orientée sur la qualité et l’amélioration continue. J’ai donc décidé de choisir le parcours mécanique et je confirme que la technicité est de mise dans cette filière.
Une semaine type à ISMANS CESI, c’est comment ?
Notre vie étudiante en première année a fortement été impactée par le Covid-19. Il n’y a pas réellement eu de semaine type ou de vie associative durant cette période puisque tous nos cours se sont déroulés en distanciel.
En deuxième année, la vie étudiante a peu à peu repris. Pour moi une semaine type à ISMANS CESI, ce sont les cours en amphi, les projets de groupe et les sorties entre copains.
Ce n’est pas qu’une école, c’est aussi un lieu de rencontre. La vie associative a eu du mal à survivre à cause de la crise sanitaire, mais elle reprend vie peu à peu. Pour ma part, j’ai fait partie du BDE (Bureau des élèves) qui organise des événements pour les étudiants de l’école et cela m’a permis de faire des rencontres et de m’intégrer au sein de l’école.
Pouvez-vous nous parler de vos expériences professionnelles (stages) dans le cadre du cycle ingénieur Mécanique ?
Trois stages doivent être réalisés. Les deux premières années, les stages sont de trois mois. Le stage de dernière année est de six mois.
La première année étant une année de tronc commun, mon stage était orienté vers la qualité et l’amélioration continue. Il m’a permis de découvrir le monde du travail que je ne connaissais pas.
J’ai effectué mon deuxième stage en Belgique à Liège. Le sujet principal de mon stage était la dynamique des rotors. L’étude de ce sujet m’a d’ailleurs permis l’obtention de mon stage actuel dans ce domaine également. J’ai pu capitaliser mon expérience et en faire une force. Même s’il reste compliqué de trouver des stages, cela reste un premier pas dans le monde du travail, tant dans la recherche que dans la découverte.
Que comptez-vous faire une fois vos études terminées ?
Je pense trouver un travail tout simplement. Je n’ai pas de domaine de prédilection, mais j’aime l’ambiance de travail dans laquelle je suis actuellement dans mon stage de dernière année. J’espère trouver une dynamique de travail comme celle-ci dans mon futur travail.
Quelles sont les qualités pour être un bon ingénieur ?
Pour être ingénieur, je pense que beaucoup diront qu’il faut être curieux et déterminé. Je pense surtout qu’il faut avoir confiance en soi, savoir se remettre en question et ne pas avoir peur de travailler. Car notre filière qui demande beaucoup d’investissement. La camaraderie et l’entraide sont un élément clé. Dans ma promotion, nous sommes une vingtaine et nous nous entraidons tous.
Quels conseils pourriez-vous donner à un·e étudiant·e / lycéen·ne qui souhaite devenir ingénieur·e ?
Il ne faut pas abandonner et avoir peur de faire des erreurs. Les choix que vous faites ne sont pas définitifs. En prenant mon parcours comme exemple, j’aurais pu choisir différents chemins pour arriver jusqu’ici aujourd’hui. Au sein de l’école, il existe de nombreux parcours de vie et d’étude. Si vous êtes déterminés et motivés, vous pouvez y arriver.
