Témoignage | Romain a choisi l’alternance pour son parcours en Performance Industrielle & Amélioration Continue

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Découvrez le parcours de Romain…

Romain, est élève en Cycle Ingénieur-e-s, parcours Performance Industrielle et Amélioration Continue, option Ingénierie d’Affaires et est apprenti Ingénieur d’Affaires.

Il témoigne aujourd’hui sur :

  • Son parcours de formation avant ISMANS CESI
  • Son choix pour l’alternance
  • Le poste qu’il occupe et ses différentes missions en entreprise
  • Son ressenti sur l’alternance
  • La suite après son diplôme

Quel est ton parcours ?

Je suis arrivé en Cycle Préparatoire Intégré à ISMANS CESI il y a quelques années. J’ai eu l’occasion de faire évoluer mon projet professionnel au cours de mon cursus notamment via les stages à l’étranger en 1ère et 3ème année. Ensuite, j’ai souhaité me diriger vers une 4ème année en Performance Industrielle et Amélioration Continue (PIAC) avec comme ligne de mire l’option Ingénierie d’Affaires l’année suivante. J’ai réalisé mon stage dans une PME tournée vers l’environnement.

Pourquoi l’alternance ?

Ce stage m’a permis de croiser mon appétence pour la technique et ma volonté de sortir de ma zone de confort. J’ai donc décidé de tenter l’aventure pour une année en contrat de professionnalisation.

Quelles sont tes missions ?

Ma mission principale : développer un nouveau produit pour un potentiel grand compte. Cela comprend la conception, mais aussi l’industrialisation, ainsi que la vente du produit. Si je ne suis pas à la réalisation de tous les livrables, je participe à toutes les étapes de la vie de ce futur produit. En parallèle, je contribue à l’évolution de l’ERP (logiciel de gestion des données de l’entreprise). Je suis également en soutien du service logistique sur certains sujets.

Quel est ton ressenti sur l’alternance ?

Pour l’instant, mon année d’alternance se déroule à un rythme soutenu et enrichissant. Les cours sont condensés mais nous avons tout de même le temps de mettre en pratique quelques notions avant d’aller sur le terrain. Cela permet de se confronter à des postes avec plus de responsabilités que lorsqu’on est stagiaire. Ainsi, on peut avoir une idée de la façon dont on peut réagir face aux obstacles qui peuvent se trouver sur notre route dans le futur. Si on me repose la question dans quelques années, je suis persuadé que ma réponse sera empreinte de positivité.

Et après ?

Après l’obtention de mon diplôme, je pense retourner à l’étranger pour tenter un nouveau challenge dans une structure plus grosse et peut-être dans un autre secteur d’activité que la métallurgie.